
MUSIQUE - DANSE - LUMIÈRE - VIDÉO
Annabelle Playe : conception, composition, live électronique
Cassandre Munoz : artiste chorérgaphique
Nadia Ratsimandresy : ondes Martenot, composition
Rima Ben Brahim : création lumière
Alexandra Radulescu : visuels interactifs
Margot Dusé : costumes
Marcela Santander Corvalan : collaboration chorégraphique, regard
Franck Vigroux : collaboration musicale, regard
Marjolaine Casteigt : documentation sonore, ville de Détroit
Samuel Herbreteau : régie générale
Quentin Chevrier : crédit photo
Magna, en latin signifie : grande · magnifique · bruyante · forte · large · retentissante · sonore · abondante · intense · importante · grosse · de taille élevée · importante · que l’on attribue à des personnages illustres · qui surpasse · qui occupe beaucoup d’espace
Le mot magna porte en soi une forme de superlatif. Une grandeur exceptionnelle, au-delà de l’ordinaire.
M Δ G N Δ est un projet musical dans lequel danse, lumière et vidéo sont intégrées au processus de composition. Celle-ci trouble les limites d’un espace dont on ne sait s’il est intérieur, mental ou projectif.
M Δ G N Δ s’articule autour du phénomène de l’électricité et plus largement du magnétisme : circulation des fluides, énergies et passages vers des mondes phénoménaux, souvent invisibles ou extraordinairement manifestés.
Orages, atmosphères terrestres ou décharges cosmiques : comment sommes-nous traversés et comment ces phénomènes nous permettent-ils de transcender notre finitude, d’accéder à des dimensions que nous explorons peu.
Pièce triptyque : 3 récits, 3 espaces, 3 temporalités. De l’électricité au corps à la mise en abîme des musiques électroniques, 3 créatrices au plateau manient ondes et fréquences entre foudroiement, électrocution et transe.
Puissantes, ces sorcières-soeurs électrisent les codes du concert, déployant de nouveaux espaces d’écoute.
Chamanisme, guérisseusses, rêves, transes...
Polarisation. Aimantation.